il y a comme quelque chose qui étouffe, et la certitude que je ne suis pas faite pour cela, le travail à la caisse, répétitif, fatiguant, morne, les yaourts avalés à la hâte le matin, les tartines rapides pour midi, et le soir, exténuée, il ne reste plus qu'une heure avant le coucher, une fois les pâtes cuites et mangées.
Je n'arrive plus à écrire ici -ailleurs.
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