mercredi 6 avril 2011

manhattan

J'écoute Louise Attaque très fort, en boucle, et une page se tourne, les lettres qui s'enchainent pour le monde entier sans qu'il y ait jamais assez de mots, alors le journal ouvert, le mauvais bec de plume grince sur le carnet Moleskine des citations de Kerouac, tu sais, On the Road qu'on relira tous les deux cet été. On fumera beaucoup trop, on mangera des apple pies with vanilla ice cream, on se récitera les poèmes de Ginsberg, on écoutera ta musique, on restera sous le soleil trop chaud, on boira le whisky à la bouteille et on fera l'amour tout le temps. C'est comme ça que je nous imagine.

3 commentaires:

  1. J'ai la terrible impression que mon long et vain commentaire a disparu ; disons que c'est la faute d'internet qui ne marche pas vraiment chez moi. Un moment, j'envisage de le réécrire, ou la possibilité qu'il soit en attente de validation. C'est triste.

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  2. Maintenant, je sais que je l'ai perdu.

    J'y racontais comment je me suis retrouvé à commenté cette note, que j'aime malgré son anachronisme maintenant, - enfin je crois, - j'aimais la première, qui m'a donné envie de laisser un message, et il y avait un paragraphe sur un mail que j'ai voulu écrire, et sans trouver ton adresse, j'ai voulu parler de cette idée des 101 choses, que j'aimais bien, et justifié ces virgules qui sont la parole, la pensée et qu'on méprise à l'écrire. Passons, une autre fois, tout ça n'était qu'une trace de mon insomnie.

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  3. oh, ce c'est que maintenant que je vois tes commentaires!...

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