En levant les yeux, le ciel est comme un dimanche solitaire. Les doigts cherchent la sensation rassurante des touches d'ivoire et ne rencontrent que du noir, un souffle de vent sème une longue lettre parmi les fleurs du jardin.
Les pages sentent les jours d'autrefois, le parfum de l'écriture polonaise, la nuit que l'on rejetait tôt, si tôt, pour s'éveiller doucement avec les chorals de Bach dans la pénombre d'une pièce froide encore. La joie de choisir un nouveau programme, écouter, déchiffrer et porter des partitions dans son coeur et sous les doigts pendant une année, nouvelle, inattendue.
Le compte à rebours à débuté, les portes vides, et j'attends.
Le vent de liberté me prend sur ses ailes fragiles, partir, sauter dans le premier métro et aller à la mer avec mes compagnons du monde, et un mail tout à l'heure pour confirmer l'Espagne.
Les pages sentent les jours d'autrefois, le parfum de l'écriture polonaise, la nuit que l'on rejetait tôt, si tôt, pour s'éveiller doucement avec les chorals de Bach dans la pénombre d'une pièce froide encore. La joie de choisir un nouveau programme, écouter, déchiffrer et porter des partitions dans son coeur et sous les doigts pendant une année, nouvelle, inattendue.
Le compte à rebours à débuté, les portes vides, et j'attends.
Le vent de liberté me prend sur ses ailes fragiles, partir, sauter dans le premier métro et aller à la mer avec mes compagnons du monde, et un mail tout à l'heure pour confirmer l'Espagne.
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